Préambule :
«Des histoires ... Ce n’est pas qu’il en manque Mironton, mironton, mirontaine Ce n’est pas qu’il en manque Car j’en connais beaucoup (ter).»
Une enquêteuse mandatée par La Pyramide Icare, Dépôt Central d’Archives de toutes les histoires qui n’ont jamais existé, s’introduit chez vous afin de collecter et recueillir les indices et traces laissées par ces fameuses «anhistoires». Et vous voici conviés à assister à la découverte, l’élaboration, la composition et à la naissance en direct d’ un Objet Mythologique Non Identifié et Composite réalisé à partir de collages de contes et d’images.
Empruntant un itinéraire de l’égarement, usant du détournement de contes connus afin qu’apparaissent de nouveaux récits, voilà qu’advient une exploration théâtrale et plastique menée par une narratrice-marionnettiste.
Au sein d’un cadre fixé sur chevalet, nous voila conviés à la éalisation de tableaux à partir d’oeuvres picturales venues d’horizons divers préalablement découpées, déchirées, détournées, préparées pour servir le récit, sorte de palimpseste sur lequel coller, accrocher les morceaux de l’histoire pour en faire l’horizon du récit, le commentaire et/ou le fond de ce qui se déroule sur la table. Système de rouleaux de papier fixés dans le cadre vide et à dérouler pendant le jeu. Manipulation des personnages de papier sur table ou bien sur un support attenant au chevalet. Personnages réalisés en 3 d à partir de découpages de peintures et dessins. Choses manipulables et en évolution au cours du récit.
De et par Elodie Brochier
Durée : 25 à 30 minutes.
Le réel est un puzzle dont il manque une pièce. Les pièces qui existent sont toutes les histoires qui vous entourent, toutes celles qui vous éclairent, qui vous stimulent etc. Et la pièce manquante, qui va achever le puzzle, ce sont les histoires qu’on fera soi-même ... histoires qui vous entourent, toutes celles qui vous éclairent, qui vous stimulent etc. Et la pièce manquante, qui va achever le puzzle, ce sont les histoires qu’on fera soi-même ...
deux illustrations de deux fameux contes utilisés pour le détournement d’image.
Principe plastique et de l’estéhtique : la danse nouvelle 1 et 2
lundi 23 novembre 2009
mardi 17 novembre 2009
Les Reliquats - seconde nouvelle petite forme
Les Reliquats - Natacha Diet et David Arribe
Monarchie, jeu et manipulation d’objets
Devant une tasse de thé tiède et quelques mignardises poussiéreuses, une Reine aveugle, désormais oubliée de tous, et son chambellan amnésique tentent de reconstruire ce qui fut leur grandeur d’antan.
Soutenus par quelques rares sujets encore fidèles (le public) qu’ils ont, tant bien que mal, réussi à réunir, ils s’essaient à retrouver les préceptes et codes qui régissaient le Royaume, et la Carte qui ramènera la Reine oubliée vers son trône.
Aidé de vieux grimoires et de son matériel scientifique qu’il expérimente tour à tour sur les rats, la Reine et ses sujets, le Chambellan s’ingénie à récupérer les bribes de passé qui traversent encore la Reine sous la forme de fulgurances lyriques, et s’évertue à percer le mystère de leur chute et de leur disgrâce.
Dans le boudoir improvisé, sur la table du goûter, la théière devient forteresse, les morceaux de sucre forment des remparts, les gâteaux se creusent en gargotes improbables où l’on boit de ces petits vins qui échauffent plus qu’ils ne désaltèrent, on trouve quelques dentellières vantant leurs gants de frangipane et leurs bourses à confidences, une ville se dresse toute pleine de marchands de citrons doux, d’oranges du Portugal, de marmelades et confitures à fleurette ...
Mais pénétrer les mystères de ce Royaume s’avère plus complexe qu’il n’y paraît, ses routes sinueuses empruntent les chemins d’Indifférence, les fondations de ses villages s’enracinent dans des marécages de Sentiments tronqués, ses forêts se perdent dans des labyrinthes de Soupirs au sein desquels s’affairent des trafiquants de coeurs humains.
Les grimoires mentent, le Chambellan déraille, la reine défaille, nous entraînant malgré eux vers l’étrange contrée de Tendre... Jusqu’au revirement final.
Avec le soutien des écrits de Madeleine de Scudéry, William Shakespeare et Berthe Bernage.
"Rome" et la Reine, les deux marionnettes du spectacle
Monarchie, jeu et manipulation d’objets
Devant une tasse de thé tiède et quelques mignardises poussiéreuses, une Reine aveugle, désormais oubliée de tous, et son chambellan amnésique tentent de reconstruire ce qui fut leur grandeur d’antan.
Soutenus par quelques rares sujets encore fidèles (le public) qu’ils ont, tant bien que mal, réussi à réunir, ils s’essaient à retrouver les préceptes et codes qui régissaient le Royaume, et la Carte qui ramènera la Reine oubliée vers son trône.
Aidé de vieux grimoires et de son matériel scientifique qu’il expérimente tour à tour sur les rats, la Reine et ses sujets, le Chambellan s’ingénie à récupérer les bribes de passé qui traversent encore la Reine sous la forme de fulgurances lyriques, et s’évertue à percer le mystère de leur chute et de leur disgrâce.
Dans le boudoir improvisé, sur la table du goûter, la théière devient forteresse, les morceaux de sucre forment des remparts, les gâteaux se creusent en gargotes improbables où l’on boit de ces petits vins qui échauffent plus qu’ils ne désaltèrent, on trouve quelques dentellières vantant leurs gants de frangipane et leurs bourses à confidences, une ville se dresse toute pleine de marchands de citrons doux, d’oranges du Portugal, de marmelades et confitures à fleurette ...
Mais pénétrer les mystères de ce Royaume s’avère plus complexe qu’il n’y paraît, ses routes sinueuses empruntent les chemins d’Indifférence, les fondations de ses villages s’enracinent dans des marécages de Sentiments tronqués, ses forêts se perdent dans des labyrinthes de Soupirs au sein desquels s’affairent des trafiquants de coeurs humains.
Les grimoires mentent, le Chambellan déraille, la reine défaille, nous entraînant malgré eux vers l’étrange contrée de Tendre... Jusqu’au revirement final.
Avec le soutien des écrits de Madeleine de Scudéry, William Shakespeare et Berthe Bernage.
"Rome" et la Reine, les deux marionnettes du spectacle
mercredi 11 novembre 2009
Les premières traces de l'Aurore
Ca crée sévère à la Valise !! SI, Si!!
Après les Seaux, nous voila repartis pour toute une série de nouvelles petites formes marionnettes qui vont voir le jour en 2010, à l'occasion de notre premier festival de petites formes intimes à Vic sur Seille "Scènes d'hiver sur un coin de table", les 26, 27 et 28 février 2010.
Voici la présentation de la première, créée par David Gallaire.
Il s'agit d'une adaptation du film muet “L’Aurore“ de Murnau 1927
Version : théâtre animé miniature électrique-fantôme
Conservation du propos original
Une femme de la ville, qui passe ses vacances dans un petit village, séduit un paysan et le convainc de tuer son épouse. Mais au moment de faire le dernier geste, il s’effondre et la paysanne s’enfuit dans un tramway. Il la suit et les deux s’en vont insensiblement vers la ville. C’est là que, progressivement, ils se retrouvent, en découvrant le rire et la fête dans l’atmosphère urbaine, avant de s’en retourner chez eux. Mais la, une tempête les attend.
Inspiration décor visuel : cinéma expressionniste allemand, courant artistique art brut «décadent» des années 30
Traitement : muet, version sonorisée, manipulation a vue, mécanique / machineries miniatures, détournements d’objets. Effets spéciaux en direct
Durée : 20 mn
Voici quelques photos de la scénographie du spectacle
Après les Seaux, nous voila repartis pour toute une série de nouvelles petites formes marionnettes qui vont voir le jour en 2010, à l'occasion de notre premier festival de petites formes intimes à Vic sur Seille "Scènes d'hiver sur un coin de table", les 26, 27 et 28 février 2010.
Voici la présentation de la première, créée par David Gallaire.
Il s'agit d'une adaptation du film muet “L’Aurore“ de Murnau 1927
Version : théâtre animé miniature électrique-fantôme
Conservation du propos original
Une femme de la ville, qui passe ses vacances dans un petit village, séduit un paysan et le convainc de tuer son épouse. Mais au moment de faire le dernier geste, il s’effondre et la paysanne s’enfuit dans un tramway. Il la suit et les deux s’en vont insensiblement vers la ville. C’est là que, progressivement, ils se retrouvent, en découvrant le rire et la fête dans l’atmosphère urbaine, avant de s’en retourner chez eux. Mais la, une tempête les attend.
Inspiration décor visuel : cinéma expressionniste allemand, courant artistique art brut «décadent» des années 30
Traitement : muet, version sonorisée, manipulation a vue, mécanique / machineries miniatures, détournements d’objets. Effets spéciaux en direct
Durée : 20 mn
Voici quelques photos de la scénographie du spectacle
Inscription à :
Articles (Atom)