Ca y est, c'est fini et c'était dinguement bien!
La grande famille
Des coquineries manipulées de Madame Bardot (Sous le Jupon - la Soupe Cie) à la violence de la descente aux enfers (Orphée - La soupe Cie), des personnages tendrement monstrueux de Mogrr (Métalu A Chahuter) au bestiaire forain de ces pauvres Ramon et Dolores (Microcircus - Cie La Valise), des théories scientifico-extravagantes sur la nuit de l'UNIFON (Cie la Valise) à l'univers concrètement mélodique du concert de vrais/faux instruments de Pipistop....
De la chaleur de l'accueil de Juliette et Rosalie (Cie Artsénic) à la tendresse du conteur face à la tristesse de la fille (Les Seaux, Cie la Valise), de la noirceur des contes sur l'homme (L'Homme est un noisetier tortueux, Cie Artsénic) à la découverte de la vie par petit homme manipulé (Infinité, Cie la Valise), de la reconstitution d'un tournage de film (L'Aurore, Cie la Valise) à la thérapie musico-délirante pour combattre les "Bruits de couloir" (Cie Des gars sérieux), de la difficulté du souvenir d'un royaume oublié (Les Reliquats, Cie la Valise) à la mythologie fantastique de La Pierre, la poudre et le reflet (Cie la Valise), des leçons inoubliables de choses de la vie (Le polichineur de tiroirs, Les chemins de terre) aux digressions allumées sur Shakespeare (Le polichineur d'écritoire, Les chemins de terre)
Marionettes à tringle, sur table, théâtre d'objets, théâtre d'ombres, concert d'objets, masques, conte... le public a pu découvrir une grande diversité de propositions autour des arts du conte et de la marionnette.
Des spectateurs craphutant dans Vic sur Seille, plan à la main le vendredi, suivant les Semeurs de légende les samedi et dimanche, à la (re)découverte de ce magnifique village...
des intérieurs qui s'ouvrents aux visiteurs éphémères, une auberge aux allures de chez soi dont on a du mal à partir...
c'était tout ça les Scènes d'hiver!!
VIVEMENT L'ANNEE PROCHAINE!!!
En attendant,
toutes les photos sont en ligne sur le blog
Inscription à :
Publier les commentaires (Atom)
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire